Les démarches et objectifs.

1.) Tout au début nous sommes parties de l’idée de « faire quelque chose sur la musique », un intérêt commun. Il fallait donc d’abord préciser cette idée et en faire un vrai sujet. En cherchant un peu dans tous les sens sur internet nous sommes tombées sur la musique traditionnelle et nous avons découvert qu’il y avait une tradition musicale très riche qui s’étend à travers tous les siècles. Nous, l’une française, née à Paris et l’autre allemande et donc toutes deux étrangères dans la région d’Auvergne, étions surprises de cette divesité et de cette richesse. Car, habitant en ville dans un cadre surtout franco-allemand, nous ne nous sommes jamais aperçues de cette musique qui, aujourd’hui, se joue davantage à la campagne. Mais d’autant plus grande a été notre motivation, justement, de faire découvrir ce côté d’Auvergne, jusqu’ici si inconnu.

2.) En même temps, cette musique offre un grand nombre d’aspects à traiter dont il fallait choisir quelques uns pour pouvoir les approfondir. En choisissant un côté traditionnel et un côté plus moderne nous voulions faire apparaître la diveristé et attirer ainsi plus d’attention qu’en se concentrant sur un seul aspect.

3.) Ensuite, nous avons réfléchies sur la forme sous laquelle nous voulions réaliser notre projet. L’idée d’une exposition venait assez vite car nous voulions partager notre découverte avec d’autres gens et attribuer ainsi une contribution à la communication interculturelle. Il nous fallait donc un lieu pour notre exposition et heureusement, nous avons pu joindre un autre groupe qui voulait aussi réaliser une exposition dans le cadre du projet culturel. Ils avaient déjà contacté le Café des Augustes à Clermont-Ferrand et nous avons eu l’accord pour monter nos expositions.

4.) Ensuite, il fallait donc se lancer à la recerche qui, pour nous, se révélait d’être assez difficile comme nous ne sommes pas de la région. C’était donc d’abord tout un travail de recherche qui servait à nous informer afin d’acquérir les connaissances de bases desquels nous pouvions ensuite partir. C’est ce qui a pris le plus de temps car il fallait trouver des sources écrites et les lire. Au-delà de, nous avons consulté la directrice du SUC (Service Universitaire Culturel), Evelyne Ducrot, qui a beaucoup d’expérience en ce qui concerne la musique traditionnelle auvergnate. Elles nous parlé pour nous donné une vue d’ensemble nous a aidé à trouver de la documentation.

5.) Une fois bien informées, il fallait que nous fassions un choix de ces connaissances acquises. Ainsi, nous avons décidé d’organiser l’exposition en deux parties et de les structurer comme évoqué plus haut. Il nous paraissait bien de suivre la chronologie pour montrer le développement de la musique et de focaliser l’attention ensuite sur les groupes d’aujourd’hui qui font le lien entre la tradition et le jeune public attendu.

6.) Pour la mise en œuvre sur les panneaux nous avons écrit des textes, choisi des images et d’exemples à ecouter. Pour la présentation même, il fallait aussi s’occuper du matériel : les « Stellwände », les cartons, les textes et les images imprimés et il y avait aussi les questions techniques pour la musique à écouter. Pour tout cela, nous avons eu des conseils et de l’aide de notre tutrice de projet.